18h – Séance 1

Côtelette, rencontre inattendue sur la route de la soie
Stéphanie Couvreur et Claude Perdigou, 7 min, 2018 (France)
Stéphanie et Claude partent pédaler sur la route de la soie. Au début de leur voyage, Claude déteste les chiens et le couple déborde de créativité pour les repousser. À un poste frontière du Kirghizistan, une chienne baptisée Côtelette croise leur route et les suit. Jusqu’où ira-t-elle ?

Battantes
Lucia Palenzuela, 25 min, 2019 (France)
Après plus d’un an d’entraînement, elles sont prêtes. Elles, ce sont 40 femmes de 35 à 75 ans, atteintes d’un cancer féminin, en rémission, en traitement ou en voie de guérison. L’idée est d’aller en vélo de Chambéry à Venise et de participer à une grande course de bateaux dans les canaux et la lagune. Et c’est décidé, c’est ensemble qu’elles iront ! Ensemble, « pour que la vie soit toujours en descente ».

Flammenkueche Team Madame
Edith Herregods et Johanne Vandersteen, 20 min, 2020 (Belgique)
Le concept voyage à vélo n’importe comment, c’est si bon ! Une équipe de 4 copaines ont goûté aux spécialités brassicoles dans la région des 4 frontières. Pour connaître son avis sur les meilleures bières spéciales, c’est pas compliqué, Edith et Johanne tiennent le bar.
20h – Séance 2 – Ciné-débat

We me gieng (Si on allait)
Alexandre Lachavanne, 70 min, 2019 (Suisse)
Partant de Suisse, un collectif prend la route direction la ZAD de Notre-Dame-Des-Landes. Filmés au plus près, filles et garçons nous plongent dans l’expérience d’une vie nomade et sans entraves, une tentative de s’émanciper de la machine ultralibérale et d’inventer d’autres formes de vie dans un monde abîmé. Les images, douces et poétiques, contrastent avec la violence de notre société. Un film à rebours des schémas qu’on nous propose.
Débat
Vélo et luttes pour les biens communs
Avec : Alexandre Lachavanne, Johanne, Julie, Sébastien Kennes, Heidi Bonsaquet, Stéphane Desgain
Ride féministe, Masse critique, ZAD, etc. Un peu partout, là où la place des femmes dans l’espace public est mise à mal, là où des lieux sont mis en péril par la marche forcée de l’économie productiviste, des luttes pour les biens communs émergent et le vélo devient un moyen de mobilisation, un outil de résistance et un vecteur d’émancipation. La petite reine participe-t-elle à la convergence des luttes ?
Rencontre en partenariat avec les Déchaîné·es, Rencontre des Continents, Occupons le Terrain, Actrices et Acteurs des Temps Présents